1 - Citer les étiologies des gastrites aiguesLes gastrites aiguës peuvent avoir différentes origines : Bactérienne,
- virale, allergique ;
- Toxique
notamment l'alcool ;
- Médicamenteuse
: anti-inflammatoires (aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens, phénylbutazone,indométacine, etc.), anti-mitotiques, anti-infectieux, réserpiniques,
digitaliques, etc.
2 – décrire le muguet buccalLe muguet buccal est une infection à levures de la bouche causée par la croissance rebelle d'un organisme appelé
Candida albicans3- traitement des mycoses buccales Traitement :−
Antifongiques en application locale voire par voie orale.
−
L’hygiène bucco-dentaire doit être impeccable
−
L’arrêt du tabac et de l'alcool est impératif
−Utiliser un dentifrice bicarbonaté
−Bains de bouche
−Pas de sucreries entre les repas
4 – pneumonie franche lobaire aigueSignes cliniques : PFLA (Pneumonie franche lobaire aigue
Début brutal par une température à 39-40°C + frissons, douleurs thoraciques à type de points de côté, toux qui ramène des expectorations muco-purulentes, dyspnée,
rougeur des pommettes et herpès nasolabial.
Signes para cliniques :
• Radio thorax : qui va montrer une opacité qui peut atteindre soit un lobe du poumon ou tout un poumon.
• NFS : hyperleucocytose.
• Hémocultures : permettent de confirmer le diagnostic lorsqu’elles permettent d’isoler le germe.
5- Le tableau typique de la grippe avec atteinte parenchymateuseLe tableau typique de la grippe associe habituellement :
● un début brutal,
● une fièvre souvent élevée,
● des signes respiratoires (toux, nez qui coule....),
● et des signes généraux (frissons, maux de tête, courbatures, malaise,
fatigue…).
6 -Prévention des bronchites et pneumopathies aiguësMesures hygiène
Vaccination
Traitement préventif
On doit préserver les moyens de défense locaux en évitant le tabac, les polluants et l’empoussièrage. On doit éviter la contagiosité en demandant aux tousseurs de mettre soit leurs mains, un mouchoir devant les voies respiratoires supérieures et vacciner l’adulte à haut risque (asthmatique, vieillards…)7 - Syndrome ulcéreux typiqueDouleur, crampe épigastrique calmé par les repas réveillant le malade la nuit, pas irradiation périodique (survient pendant plusieurs jours
et semaine puis cesse et réparait
8 - COMPLICATIONS de l’ulcère gastro-duodénalComplications1 –
Hémorragies 2 –
Perforations 3 –
Dégénérescence 4 –
Sténoses9 – EVOLUTION et définition de LA CIRRHOSE DU FOIEDéfinition C'est une maladie diffuse, chronique et irréversible du foie dont la définition est anatomique, avec l'association de trois types de lésions :
- Une atteinte des cellules du foie (cellules hépatiques) ;
- Une fibrose ;
- Des nodules de régénération où des cellules
hépatiques essayent de fonctionner mais y arrivent mal car la disposition architecturale des nouvelles cellules n'est pas conforme à leurs fonctions.
Evolution1 -
L'ascite est la complication la plus fréquente.
2 -
Les ictères,
3 -
Les infections4 -
Les hémorragies digestives 5 -
Le cancer primitif du foie 6 - L'
encéphalopathie hépatique
10- citer les étiologies de la cirrhose du foieHépatites virales, Alcoolisme chronique, La lithiase biliaire, les maladies héréditaires comme l’hémochromatose, et la maladie de Wilson 11 - Examens à but diagnostique de La pancréatite aiguëAmylasémie qui est très augmentée.
L’hyperamylasurie est d’apparition plus tardive mais elle persiste longtemps après la normalisation des taux sériquesLa lipasémie est élevée mais rarement réalisable en urgence12 -Glomérulonéphrite aiguë post streptococciqueDéfinition: c'est une complication rénale d'uneangine à streptocoque hémolytique les symptômes apparaissent 2 à 3 semaines Signes et symptômes : asthénie, céphalées, hyperthermie,algies dorsales, douleurs au niveau des reins, œdème, coloration des urines (rouge-brun) pour cause d’hématurie,HTA chez oligurie (urine rare), hyperhydratation avec surcharge au niveau cardiaque (conséquence de l’oligurie), qui peut conduire à l’œdème pulmonaire, anorexie, pâleur.
13 - Le diabèteI. Définition
C'est un trouble de l'organisme hydrocarboné qui est du soit à un déficit d'insuline soit à une résistance anormale à cette hormone et qui entraîne une hausse du taux de glycémie .
Il y a deux sortes de diabète :
- Diabète insulino-dépendant (DID) ou de type I -Diabète non insulino-dépendant (DNID) ou de type II II. Clinique
Pour un diabète non contrôlé:
- hyperglycémie
- hyper glycosurie (seuil rénal dépassé à 1,8g/l)
- polyurie (trop de sucre :élimination urinaire)
- polydipsie (soif intense ,boit toute la journée)
- polyphagie ( sucre non utilisé, hausse de la sensation de faim)
- acidose sanguine pas de stockage de glucose au niveau cellulaire alors utilisation des acides gras pour fournir de l'énergie à l'organisme, leur élimination se fait sous forme de corps cétoniques.
III. Hygiène de vie
- arrêt du tabac
- observance du régime approprié: -exercice physique régulier
- surveillance médicale régulière
- hygiène rigoureuse des pieds14 – définition de l’anémie ; anémie ferriprive1/ DéfinitionL'anémie est définie par la baisse du taux d'hémoglobine en dessous de 13 g par dL chez l'homme, 12 g par dL chez la femme et
l'enfant, et 14 g par dL chez le nouveau né.
2/Anémie Ferriprive
C'est la forme la plus répandue et, comme son nom l'indique, elle provient d'une carence en
fer, qui est un composant essentiel de l'hémoglobine.
15 - Classification des leucémieson distingue :
- Les leucémies aiguës ; les LA sont des affections malignes
caractérisées par la prolifération monoclonale anormale de leucoblastes
- La leucémie lymphoïde chronique :
c’est l’augmentation permanente du nombre des lymphocytes sanguins (sup. à5000/mm3) ; en rapport avec la prolifération d’un clonede lymphocytes B.
- La leucémie myéloïde chronique : la LMC est une prolifération incontrôlée de lignée leucocytaire.
16- décrire la triade symptomatique de la maladie de parkinsonLe diagnostic de la maladie de Parkinson est évoqué
devant la triade caractéristique :
Tremblement, akinésie, hypertonie.
1. Tremblement :Typiquement c’est un tremblement de repos, disparaît au cours du sommeil.
2. Akinésie :Entraîne une rareté des mouvements, une mimique pauvre, un visage figé, le sujet marche à petit pas, ne balance pas les bras.
3. L’hypertonie : Dite en ‘’tuyau de plomb’’ ou en ‘’roue dentée’’ cédant pas à corps, à l’attitude elle est responsable de l’antéflexion du tronc avec flexion des genoux et pronation des avant-bras.
17 – définition de la maladie de parkinsonI- Définition :Le syndrome parkinsonien est définit par l’association d’une hypertonie, d’une akinésie d’un tremblement.
18-l’Hypertension intracrânienne définition clinique ;para clinique et évolutionDéfinition : C' est l'augmentation anormalement importante de la
pression à l'intérieur de l'encéphale qui est la partie du système nerveux central située à intérieur du crâne.Clinique : Céphalée, Vomissements, Troubles de la conscience, Troubles visuels.
Les autres manifestations d'atteinte encéphalique non spécifique sont :
- les crises convulsives généralisées.
- les troubles psychiatriques (trouble de l'humeur,
du comportement).
para clinique :Radio du crâne, Electro-céphalogramme, Mesure de PIC,TDM + IRM
Evolution : Engagement, Atrophie optique
19 – maladie de basedow La maladie de Basedow ou Graves-Basedow, est une thyroïdite, une maladie auto-immune de la thyroïde provoquant une hyperthyroïdie accompagnée de signes cliniques spécifiques. Il s'agit de sa forme la plus fréquente.Clinique : Ils comprennent l'association de signes d'hyperthyroïdie et de signes plus spécifiques de la maladie.20 -description clinique de la sciatiqueUne douleur intense déclenchée dans le bas du dos ou une fesse, Des fourmillements,un engourdissement et une faiblesse musculaire dans certaines zones de la jambe et du pied atteints.21- HTADéfinition : c’est la pression du sang qui circule dans les artères
CausesCauses rénales
Causes surrénaliennes
La coarctation aortique
Grossesse
Autres causes endocriniennes,médicamenteuses, une tumeur cérébrale
22- OAPDéfinition
C’est l’accumulation rapide de liquide au niveau du tissu interstitiel
pulmonaire et des alvéoles.
Signes cliniques
• dyspnée à type de polypnée
• sensation d’oppression thoracique
• toux quinteuses incessantes
• chatouillement laryngé
• expectorations mousseuses et abondantes
Examens cliniques
• des râles gripilans diffusent à l’auscultation.
Examens para cliniques
• radio thorax : qui va mettre en évidence des opacités qui vont atteindre les deux poumons et qui sont très évocatrices de l’OAP.
• Gaz du sang : qui vont mettre en évidence une hypoxémie et hypocapnie.
Etiologies
• OAP hémodynamique : qui et secondaire à l’augmentation de la pression au niveau des capillaires.
• OAP lésionnel : qui est secondaire à une lésion de la membrane alvéolo-capillaire.
OAP hémodynamique : peut être en rapport avec une insuffisance
ventriculaire gauche, secondaire à un HTA, un retentissement plus séré de la valve mitrale ou IDM.
OAP lésionnel : peut être secondaire à une pneumopathie infectieuse, à inhalation au noyade au l’eau de mer.
Evolution
Sans aucun traitement l’évolution se fait rapidement vers la mort.
Sous traitement on peut observer une amélioration de l’hypoxie mais la mortalité reste augmentée et qui peut atteindre 50 à 60%. 23- RAADéfinition : Affection inflammatoire touchant l'enfant et l'adolescent. Le RAA survient une à cinq semaines après une angine à streptocoque ß-hémolytique du groupe A. Etiologie §maladie de Bouillaud, §Au Maroc:3à10 pour mille des enfants scolarisés§Le RAA s’observe entre 5 et 15 ans, rare avant 3 ansTouche de façon égale les deux sexes : Garçon = fille. Des rechutes sont possibles
Mécanismes auto-immuns plurifactoriels
§Prédisposition génétique.
§Facteurs de risque: Mauvaises conditions de vie socio-économiques, Infections pharyngées répétées
§Surpeuplement est aussi cause favorisante: internats, armée bidonvilles
§L’existence d’antécédents personnels de RAA, lors d’une infection streptococcique, multiplie le risque de rechute.
Clinique Début aigu ou brutal, le tableau associe :
1/ des Signes généraux:fièvre(› à 39°), sueurs, pâleur vomissements et douleurs abdominales
,asthénie .
2/ Atteinte articulaire(80% des cas)
3/Atteinte cardiaque:
4/Atteintes cutanées Complications: § Séquelles cardiaques: rétrécissement et insuffisance valvulaire, cardiomyopathie chronique
§ Rechute, greffe d’endocardite infectieuse
24- clinique et examens complémentaires de : cystite ; urétrite, prostatiteCYSTITECliniquePar définition une cystite bactérienne suppose l’absence de fièvre et de signes infectieux généraux. La fièvre traduit l’atteinte infectieuse d’un organe parenchymateux (rein = pyélonéphrite ou prostate = prostatite) ou une diffusion hématogène de l’infection (septicémie).
Les examens complémentaires : L’ECBU
PROSTATITE Clinique---- Syndrome septique avec fièvre, frissons
---- Douleur pelvienne et des OGE
---- Difficultés de miction
Examens Complémentaires
ECBU, le l'examen direct + mise en culture du liquide prostatique
Prélèvement urétral, spermoculture peuvent également être utiles
L‘UIV est discutée au cas par cas.
Biologie : La NFS
révèle une augmentation des GB,
25-prévention des phlébites
- Lever précoce des opérés des accouchées
- Mobilisation passive et active des MI par rapport au plan du lit
- Port de contention avec compression graduée du membre du pied vers l’aine bandes ou bas
- Surveillance des patients alités
- Traitement anticoagulant a but prophylactique
26- Traitement préventif des complications des hémiplégiesIl dépend de l’importance et de la localisation des troubles. Dans les formes graves, ce sont :
- assistance respiratoire
- ré-hydratation et équilibration
- soins de nursing
- contrôle ou assistance des fonctions sphinctériennes
Des traitements locaux sont souvent nécessaires :
- kinésithérapie pour éviter les attitudes vicieuses
- kinésithérapie et podologie pour faciliter la marche
- kinésithérapie et ergothérapie pour la manipulation
27- les facteurs de risque cardiovasculaireHTA, diabète, Tabac, obésité, Alcoolisme, Troubles du métabolisme des lipides, Acide urique…
28 – diagnostic du grand mal (épilepsie)Le diagnostic de l'épilepsie repose sur la description scrupuleuse et précise du déroulement de la crise. Seul le récit du patient et/ou de son entourage permettra d'apprécier l'existence de signes évocateurs de la maladie :
mouvements convulsifs, perte de connaissance, chute, absences, relâchement des sphincters, automatismes...
29- Précautions Générales en cas de crise d’épilepsie
- Il faut garder son calme, la crise va s'arrêter.
- Il faut allonger délicatement la personne et, dès que possible, la mettre sur le côté.
- Il faut protéger la tête contre les blessures éventuelles.
- Il faut s'assurer que la personne respire sans difficulté, particulièrement si son visage pâlit.
- Il faut rester avec la personne jusqu'à ce qu'elle ait récupéré, la réconforter et repérer les éventuelles blessures.
- Il ne faut pas paniquer et intervenir inutilement.
- Il ne faut pas empêcher les mouvements et il ne faut rien mettre dans la bouche.
- Il ne faut pas déplacer la personne sauf pour la protéger d'éventuelles blessures.
- Il ne faut pas appeler systématiquement l'ambulance ni demander du secours, sauf si les crises se succèdent ou si
la personne a des difficultés respiratoires ou des blessures.
- Il ne faut pas imaginer que la personne a totalement récupéré sitôt la crise terminée, certaines personnes restent confuses et désorientées plusieurs minutes après la fin apparente de la
crise.
30 - CLINIQUE et examens complémentaires de l’insuffisance surrénalienneClinique : Nausées. Vomissements. Diarrhée. Douleurs abdominales Méléna Chute de la tension artérielle. FièvreÀ l'opposé, quelquefois, certains patients présentent au contraire une hypothermie. tachycardie Oligurie Déshydratation État de choc Hypovolémie,
Coma. Examens complémentaires :
L'IRMet le scanner abdominal montrent la glande surrénale pathologique.31- Causes des hypothyroïdies Il existe trois grandes étiologies d'hypoparathyroïdies:
- les causes iatrogènes après chirurgie (thyroïdectomie), chirurgie parathyroïdienne ou de la région antérieure
cervicale
- l'hypoparathyroidie primitive
* Chez l'enfant ou l'adulte jeune
Dominée par l’étiologie auto-immune
* Chez le nouveau-né
Association avec une aplasie thymique et un déficit
immunitaire
* Chez l'adulte étiologie idiopathiques
32 hyperparathyroïdie : clinique ; étiologies ; complicationsClinique: l'hyperparathyroïdie de l'adulte
Troubles De La Concentration,
Somnolence, Céphalées
Fatigue Musculaire (Muscles Proximaux)
Douleurs Articulaires, Tendinites ;Prurit ,
Douleurs Abdominales, Nausées, Soif, Polyurie
Douleurs Lombaires, Coliques Néphrétiques, HTA
Étiologiques
- L'hyperparathyroïdie primaire est due à un dysfonctionnement au sein des glandes parathyroïdes elles-mêmes, avec hypersécrétion de PTH.
- L'hyperparathyroïdie secondaire est due à la résistance à l'action de la PTH, en général à cause d'une insuffisance
rénale chronique.
Complication :
- Insuffisance Rénale Par Néphrocalcinose
- Formes Cardiovasculaires Avec HTA
- Formes Digestives
- Pancréatites Aigues
33- clinique et traitement de l’hypoparathyroidieClinique
- manifestations neuromusculaires
- Paresthésies
- Crises De Tétanies
- Souvent Annoncées Par Des Paresthésies Des Extrémités
- Suivies Par Des Crampes Musculaires
- Main D'accoucheur
- Adduction Du Pouce
- Flexion Des Métacarpo-Phalangiennes
- Flexion Du Poignet
Traitement Administration orale de calcium et de vitamine D.
34- les étiologies des ictères L’ictère a bilirubine libre :
hyper hémolyse, dyserythropeisie, déficit de glaucoronyltransférase de la maladie
Ictère à bilirubine de Gillbert ou de la maladie de Crigler Nejjar
conjuguée :
1) hépatite virale;
2) hépatite médicamenteuse;
3) ictère mécanique
35- clinique de pleurésies aigues, différents types de pleurésiesDéfinitionUne pleurésie correspond à la présence de liquide dans la cavité pleurale Cet épanchement peut être un transsudat ou un exsudat. Les transsudats ont des taux de protides bas (< 30 g/l). Les
exsudats ont des taux de protides élevés (> 30 g/l).
Etude CliniqueA/Circonstances de découverte1 -
Syndrome pleural : Douleur thoracique, Dyspnée , Toux sèche
2 -
Signes généraux État infectieux, Altération de l’état général
3 –
Autres : Bilan d’une autre pathologie, Découverte fortuite
B -
Examen clinique1/
Moyenne à grande abondance : Abolition des vibrations vocales à la palpation, Matité à la percussion, Abolition du murmure vésiculaire
2/
Faible abondance : Tous les signes cliniques et radiologiques sont plus discrets
3/Épanchement localisé ou enkysté : Opacité non systématisée
36- péricardite aigue : clinique Clinique : Il repose sur la triade classique
associant douleur, fièvre et modifications électrocardiographiques.
A)
Les signes fonctionnels-
La douleur -
La dyspnée, -
toux sèche;
B)
Les signes générauxLa fièvre, L’asthénie.
C
Les signes physiques A l’auscultation on retrouve
le frottement qui est présent dans 50 % des cas.
37- définition de l’infarctus du myocarde ; examens complémentairesDéfinition : L'infarctus du myocarde est la mort (nécrose) d’une zone plus ou moins étendue du muscle cardiaque
(myocarde).
Examens complémentaires :
L’électrocardiogramme (ECG), Dosage des enzymes cardiaques
38- définition de l’obésité et indices d’évaluationDéfinition : L'
obésité est l'état d'une personne souffrant d'une hypertrophie de la masse adipeuse
,qui se traduit par un excès de poids, réparti de façon généralisée dans les diverses zones grasses de l'
organismeC’est l'augmentation de l'indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 30%
39-complications de la rectocolite hémorragique
- Le mégacôlon toxique (recherché par l'ASP)
- la perforation
- l'hémorragie
- La septicémie
- Le cancer
40- définition et description clinique de la crise d’asthme aigue Définition
C’est une affection chronique inflammatoire des bronches, caractérisée par des épisodes répétées de toux,
Signes Cliniques Toux, oppression thoracique, gène
respiratoire, sifflement thoracique.
L’examen clinique met en évidence des râles sibilants à l’auscultation,
l’interrogatoire va chercher chez le patient ou sa famille une rhinite,
conjonctivite ou eczéma.
Examens Para Cliniques • EFR : qui va mettre en évidence un
syndrome obstructif.
• Radio thorax • Tests allergiques